Troubles sexuels

Votre thérapeute peut vous aider à comprendre et à résoudre votre problème.

 

ÉJACULATION PRÉMATURÉE


L’éjaculation précoce (ou éjaculation prématurée) est un trouble durant lequel un homme éjacule trop tôt sans contrôle volontaire possible. Il n’existe pas de définition universelle, notamment sur le temps minimal que devrait durer la pénétration lors d’une relation sexuelle, mais il peut sembler important que l’homme puisse contrôler le moment de son orgasme afin que la sexualité soit vécue comme épanouie. Il est question d’éjaculation précoce lorsque l’éjaculation survient avant que l’un ou l’autre des partenaires ne le souhaite.

L’éjaculation précoce n’est pas une maladie, l’éjaculateur prématuré fonctionnant parfaitement bien au niveau physiologique, mais la difficulté à contrôler son éjaculation peut parfois être mal vécue et nuire à la sexualité du couple.

Le sexothérapeute est présent pour vous présenter la solution à ce "désagrément".

 

TROUBLES DU DÉSIR


Ils se manifestent par une absence ou une diminution de l’intérêt pour la relation sexuelle.

En couple, cela peut être la cause ou la conséquence de problèmes relationnels. Il est donc essentiel de traiter ce sujet dans sa globalité.

 


 

PANNE SEXUELLE


"Une panne sexuelle se définit par une incapacité momentanée à avoir ou maintenir une érection suffisamment durable pour avoir un rapport sexuel satisfaisant".

On parle de trouble érectile lorsque cette incapacité est récurrente et dure depuis au moins 3 mois

 

VAGINISME


"Le vaginisme est un dysfonctionnement sexuel assez fréquent. Il se traduit par une contraction involontaire : c’est le resserrement réflexe des muscles du plancher pelvien (muscle entourant le vagin) qui se produit lorsqu’il y a tentative d’insérer un objet dans le vagin (tampon, spéculum, pénis, etc.). Cette contraction peut rendre la pénétration impossible (le vagin étant alors totalement clos) ou possible mais très douloureuse.

Selon l’OMS (Organisation mondiale de la santé) et le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV), la définition du vaginisme est axée sur la contraction vaginale : « Une contraction involontaire, répétée, persistante, des muscles périnéaux qui entourent le tiers externe du vagin en cas de tentative de pénétration par le pénis, doigt, tampon ou spéculum."

Vaginisme : un mécanisme de contraction involontaire des muscles pelviens

Par définition, les organes génitaux sont normaux et indemnes de toute pathologie, mais à chaque tentative de pénétration, l'orifice vaginal se referme par un mécanisme réflexe totalement involontaire des muscles périvaginaux. Il s’agit donc de spasmes involontaires que la femme ne maîtrise pas. Chez certaines femmes, la simple anticipation d'une pénétration vaginale peut déclencher cette contraction.

Pour mieux comprendre, beaucoup de médecins comparent cette contraction à un clignement de l’œil lorsqu’une poussière nous gêne ou qu’un insecte s’en approche.

En général, la contracture musculaire n’est pas douloureuse en elle-même. Par contre, une douleur peut être ressentie en cas de tentative de pénétration alors que le vagin est « fermé ». Ce n’est donc pas le vaginisme qui provoque une éventuelle douleur, mais, parfois, la tentative de pénétration. La femme rentre alors dans un cercle vicieux : l’appréhension de la douleur déclenche la contracture, provoquant ainsi la douleur, ce qui ne fait qu’augmenter l’appréhension de la pénétration. Lorsqu’elle est présente, cette douleur est très réelle, et non « dans la tête ».

 

DYSPAREUNIE


On parle de dyspareunie en cas de douleurs lors de rapports sexuels. Celles-ci peuvent apparaître avant, pendant ou après l’acte sexuel. Elles peuvent être ressenties chez l’homme et la femme.

Néanmoins, la dyspareunie est un terme médical qui est généralement employé pour désigner les douleurs perçues par les femmes".

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